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Ma mère avait 89 ans et se débrouillait encore très bien toute seule. Malheureusement, un jour, elle est tombée, elle s'est cassé la hanche et tout a changé. Elle a dû être hospitalisée et opérée afin de recevoir une nouvelle hanche. . Nous savions qu'à son âge, c'était un choix risqué. Elle a suivi une rééducation sommaire et lorsque l'hôpital l'a déclarée apte à sortir, elle a été redirigée vers une maison de repos. Notre Moeke avait deux souhaits : continuer à vivre chez elle et n'être un fardeau pour personne. Alors, avec mon frère et ma sœur, nous avons décidé de nous occuper d'elle. Nous avons ainsi pu lui offrir une aide fragmentée, mais celle-ci n'était pas coordonnée, et il nous était impossible d'assurer les soins à domicile à temps plein.
Le fait d'être avec son parent jour et nuit modifie l'ensemble du lien enfant-parent. . Nous avons alors fait appel à Isabelle pour une aide cohabitante. Au bout de 9 à 10 mois, notre Moeke avait retrouvé toute son autonomie et nous sommes donc ravis d'avoir opté pour cette formule d'aide à domicile.
Nous avions initialement recours à une aide à domicile par l'intermédiaire d'une autre société, mais là, quatre femmes se relayaient chaque jour. Nous préférions simplement qu'une seule personne emménage avec nous. Nous avons alors commencé à chercher d'autres solutions et nous sommes tombés sur Private Care. Nous leur avons fait part de nos besoins et ils ont immédiatement commencé à chercher une auxiliaire de vie appropriée. Nous n'avions pu lui parler que par téléphone, c'était donc un pari un peu risqué, mais lorsqu'elle est arrivée ici, le déclic s'est fait tout de suite. Nous sommes très satisfaits de la manière dont Private Care a tout organisé. Nous sommes très heureux d'avoir opté pour Private Care.
Ma femme et moi avons été hospitalisés en même temps. Landrea souffre de démence, elle est dépendante et les médecins pensent que sa place serait plutôt dans une maison de repos. Landrea ne voulait pas en entendre parler, car elle avait elle-même pris soin de sa mère et je ne voulais pas non plus aller dans une maison de repos. À mes yeux, il ne manque que les barreaux pour que ce soit une prison. Notre seule option était donc d'avoir plus d'aide à la maison. Nous avons contacté Private Care, qui nous a envoyé Angela. Dès qu'Angela remarque que le soleil tape un peu trop fort sur le dos de Landrea, elle ferme les rideaux. Quand Landrea mange un fruit, elle sait qu'elle aura besoin d'une serviette en papier et pose la boîte à côté d'elle. Elle anticipe tout et j'ai à peine le temps de penser à quelque chose qu'Angela s'en est déjà occupée. Landrea et moi avons pris plusieurs kilos depuis son arrivée à la maison. Nous sommes heureux d'avoir pu trouver cette forme de soins cohabitants et ravis des services offerts par Private Care.
